La gare de San Angelo

[HRP]bonne raison certe pour toi, mais ils sont encore 2... [HRP]

Regarde donc l'action qu'entreprend le shériff.

A monsieur Chuck "Posez lui les questions que vous voulez moi je m'en tape. Si veut nous aider tant mieux pour moi sinon sa ne changera rien"

"Doyll, je m'occuperais du deuxième tour de garde, me retrouver seul me perpétrer de réfléchir au événements passé." En souriant puis je me tourne à nouveau vers le shériff.
"Je pense pas qu'il faille lui rendre des armes, juste en cas d'attaque mais je ne pense pas que se soit le cas. Certes il y a des bandits dans la région ou nous nous trouvons d'ailleurs j'en fait partie, mais les attaques sont toujours bien prévus et il n'y en a pas tous les jours."

"Puis-je ramasser ces armes sans que cela ne vous perturbe, car je ne voudrais pas qu'il se lève et réussisse à les reprendre"

Si le Shériff Chuck accepte, je ramasse les pistole de l'homme et m'assoit dans un coin a plusieurs mètre du ligoté.

Si celui-ci ne veut pas, je les laisse à terre, m'assoit comme dit plus haut, mais là je pose ma main sur mon revolver droits prêt à tirer a tout instant.

Une fois assis je réfléchis a tout ce qui a pus se passer depuis que je les ai rencontré. L'attaque du ranch, le bateau, notre séparation puis retrouvailles, l'attaque des indiens qui vas avoir lieu, la rencontre ce cette homme soupçonneux.

[HRP:lol]Menteur, Peter qui réfléchie, et puis quoi encore[/HRP]

[HRP] C'est pas moi c'est mon perso!!! mdr[HRP]

Le shériff semble satisfait des réponses que le français lui a apporté . Il donne les arme a Erald : et puis détache Roland en lui disant :

" J'ai rien contre vous , mais au far West il vaut mieux etre du genre méfiant , si vous voulez faire de vieux os " .

Il l'aide à se relever , puis lui dit :

" Vous savez , on a perdu Alex , avant , on avait déjà perdu Chris , un autre français , on accepte donc que vous restiez avec nous , mais bon , ne croyez pas que se sera de tout repos ... Surtout avec ces deux zouaves ( il montre erald et doyll ) qui tire sur tout ce qui bouge ... Vous n'êtes pas comme eux rassurez moi ? "

Puis la nouvelle équipe organise le tour de garde , un va chercher du bois d'autres allument le feu . A l'entrée de la grottes , on entends des coups de feu , des cris au loin , les combats font rage ... Le shériff quand il entend sa , dit " c'était eux ou nous , on verra ce qui ce passe d'ici demain "

Le lendemain, alors que l'équipe s'est levé a l'aube , à leur arrivée en ville , ils sont accosté par un jeune vendeur de journaux :

" Messieurs achetez le daily paper , toutes les nouvelles fraiches !!! Des soldats pris dans une attaque , un saloon dynamité mais la ville réagit et stoppe la menace indienne , tout sa pour 25cents seulement !!! "

Ceux qui achètent le journal le signale ...

Puis tout le monde prend une place pour le train , toute la ville est en effervescence , c'est un événement plutot rare ...

Dans le train , les suites sont par 2 , et celles des aventuriers sont côtes a côtes . le shériff dit : qui va avec qui ? "

Je prend un journal. "Merci garçon."

Pour le train: "Je vais me mettre avec Roland, je suppose que vous n'y voyez aucun inconvénient. Ca nous permettra d'évoquer un peu le métier"

*Bloody Hell, je peux pas acheter de matériel pour mes bombes, avec le saloon qu'ils pensent dynamité, ils penseraient que c'est moi et c'est plutôt à éviter! Quoique, si, ce doit être possible.*

Avant que le train n'arrive, je me dépèche, je vais acheter des gosses balles, des bes gourdes en métal ainsi que de petite balles.

"Je crois bien que nous allons devoir loger dans la même cabine" en regardant le Shériff.

"Je reviens ans quelques instant j'aurais besoin de faire quelque réserve de munitions. Ne vous inquiété pas je ne pense pas tuer de monde (doucement pour que la population ne puissent attendre ces paroles)"

Je présume que le magasin d'armes et le même que Doyll.
"Toi aussi tu fais des emplette"

Je m'avance au comptoir et demande au vendeur des munitions pour mes armes, je les pose sur le comptoir pour qu'il puisse voir les modèles.
Tout en souriant "Avec le carnage d'hier, il faut reprendre de quoi tirer, je pense que pour vous ce genre d'événement vous rapporte une belle somme"

Le vendeur répond sans plus d'attention "Je vous ramène vos cartouche tout de suite, mais vous savez ça n'est pas si bénéfiques, il y a de gros risque"

Erald paye le vendeur, range les munitions dans son sac, puis rejoint ces compagnons sur le pied de la gare attendant l'arrivée de leur train!

Dans la nuit, lors de son tour de garde Roland récupère ses armes que Erald avait juste posé dans un coin. [HRP] en tout cas tu n'a rien précisé dessus de spécial hormis les mettre un peu plus loin donc pour moi tu n'as rien fais de spécial[HRP] ensuite il sort de la grotte et commence ce petit tour que ses doigts connaisse par cœur : démonter ses armes, les nettoyer puis les remonter. Certains pourrait trouver que c'est stupide de nettoyer ses armes alors qu'elles n'ont pas servie depuis le dernier nettoyage, mais Roland sait qu'il vaut mieux trop nettoyer que pas assez et puis nettoyer ses armes le détend.

Rien de spécial se passe durant son tour, il va donc réveiller le suivant et s'allonge sur sa couche mais ne faisant pas totalement confiance à ses nouveau compagnons et surtout n'ayant pas envie de se faire à nouveau retirer ses armes, il ne dormira pas de la nuit il a l'habitude d'entrer dans cet état de demi-sommeil, ni vraiment réveillé, ni vraiment endormi, c'est ainsi qu'il se repose en territoire hostile.

Le lendemain, le petit groupe se réveille à l'aube, Roland était déjà devant la grotte, frais et propre ayant trouvé un petit ruisseau pour se débarbouillé un petit peu, aucun ne semble faire de remarque quand au fait qu'il ai récupéré ses armes.

(C'est une bonne nouvelle, ils me font peut être un peu plus confiance ou alors ils ne se sont même pas rendu compte et dans ce cas là c'est une mauvaise nouvelle car raté un pareil détail peut être très handicapant...)

Une fois arrivé en ville, un jeune vendeur de journaux les accoste avec le "rapport du massacre des indiens", Roland n'aime vraiment pas le fait d'avoir mis tout sur le dos des indiens mais ne dit rien-ce n'est pas le moment-et achète un journal

"Tiens voilà petit, prend ce billet d'un dollar et garde la monnaie..."

Ensuite Doyll propose, vu que les suites sont deux par deux d'aller dans la même. Roland accepte sans hésitation et attend sur le quai que le train arrive, certains de ses compagnons partent acheter munitions et autres ustensile, Roland n'y va pas il a largement assez d'équipement pour l'instant...

Quand le train arrive sur le quai, je me dirige vers ma cabine suivi de Roland.
Je rentre saluant les autres compagnons.

Une fois dans la cabine, j'attends que le train parte et que tout le monde soit bien assis afin de pouvoir agir tranquillement, à l'abri des regards indiscrets qui chercheraient leur cabines.

Je sors les gourdes métallique (une 10°), fait des petits trous dans chaque, 6 en faisant le tour un peu plus petit que les petites balles afin qu'elles rentrent en forçant et qu'elle ne repartent pas.
Une fois ce petit manège effectué, je sors les grosses balles et vide la poudre dans les "gourdes" puis les referme.

Ensuite, je découpe des petits lambeaux de tissus d'un chiffon dans mon sac afin de faire les mèche. J'entrouvre les "gourdes" et glisse une partie des lambeau dans chaque puis referme les couvercles. Me voilà avec une dizaine de grenade à fragmentation avec mise à feu au tissus.

Puis je dis à Roland: "Ces gourdes pourront nous être fort utile, tu les verras à l'oeuvre!" lui dis je avec un clin d'oeil.

Vous êtes tous en train de défaire vos quelques valises ( ou effets personnels lorsque le train commence a démarer . L'ambiance à bord est plutot sobre , mais vous vous situez en première classe , donc vous devez tenir votre langue et doyll est rappellé à l'ordre dans les 5 premières minutes par un homme habbillé en costume :

" voyons , ce n'est pas une manière de se comporter devant ces dames , soyez poli et comportez vous comme un gentleman ! "

Le premier repas se passe au wagon restaurant , puis il y a une animation poker et black jack pour ceux qui restent ... ( à signaler )

[HRP]t'as dit dans notre cabine, faudrait savoir, et puis la première classe au far west, il y a pas de pinguin[HRP]

[HRP] oui mais a l'heure du repas , ou quand tu vas au toilettes ou pour une occasion quelquonque .... cherche pas t'as tort ^^ [HRP]

[HRP] Je voie pas trop en quoi il a tort, il a fabriqué ces grenades à l'abris des regards et il n'a pas précisé qu'il les sortait devant ces dames en gueulant OUYA JVAIS TOUT FAIRE PETER!!!!!! [HRP]

Roland en comprend pas trop ce que fait Doyll, mais il ne doute pas que ces étranges boules de métal auront leur utilité en temps venu...

"Mais à quoi servent ces boules de métal? ce sont des munitions spéciale? Pour quelle genre de fusil??? Elles sont énorme!"

Roland ira ensuite manger dans le silence, n'aimant guère la compagnie de ses dames trop bien habillé et de ces hommes avec un trop grand balai dans leur cul ! Puis il retournera dans sa cabine et lira le journal qu'il a acheter avant de monter dans le train avant de s'endormir, après tout il n'avait dormi qu'a moitié la nuit dernière et une petite sieste ne fera pas de mal...

"Ce ne sont pas vraiment des munitions, en tout cas pas pour fusil, mais ne t'insuiètes pas, tu comprendra bien assez vite ce que c'est!"

Quand j'ai fini, je vais me laver les mains afin d'enlever toute trasse de poudre.

Je retourne dans ma cabine afin de réfléchir, en tout cas pas discuter car Roland n'a pas l'air enclin à la discussion, il a l'air un peu fatigué, je le laisse donc dormir et ne tarde pas à l'imiter, n'étant pas en grande forme non plus.

Quand je me réveil, je fait un brin de lecture afin de voir les dommages collatéraux qu'il y a encore eu à cause de nous...

Erald rentre dans sa cabine, poser ces affaires sur la couchette du bas, laissant sont sac ainsi que son fusil.

Puis sort avec ces compagnons pour se restaurer, il ne parle quasiment pas du repas. Préférant observer avec discrétion les membres du wagon, des homme de Black peuvent très bien se trouver ici.

Un fois son repas fini, Erald se pose à une table de black jack et demande au croupier
"Fait pété les cartes!! Je mise 20 dollars!" L'utilisation de se vocabulaire peut attirer l'attention des personnes suspecte.


(edit Yo : je pense que tu vois ce que j'ai modifié )

La table de black jack est tres animée , et au bout de 2 heures , tu as ammassé quelques milliers de dollars , mais l'appat du gain est trop fort ...
tu cries : " ce soir , je fais sauter la banque !!! Deux cartes svp !! " en posant 6000$ , soit presque tout ce que tu as gagné ...

tu prend un valet et un 2 , tu demandes une carte , tu la retourne , c'est une reine ...

le banquier dit : " bust !!! dommage ... " en ramassant ton pognon .

Tu est étonné de sa voie , tu crois la connaitre , mais à l'époque il te semble que cet homme n'avait pas cette affreuse cicatrice sur la joue droite , ni cette barbe bien rasée ... Tu te rend compte qu'en fasse de toi , il y a un ancien homme de main de Black , et que tu travaillais avec lui !!!!

Lui ne t'as pas reconnu , a moins que .... 1000 questions se bouscule dans ta tete : te surveille t'il ? Fait il semblant de ne pas te reconnaitre ? Faut il le neutraliser ? Lui parler ? A t'il été viré de chez Black ?

Bref , que fais tu ???

"Et merde, fais chier, je savais que j'aurais pas du rejoué! Bon j'arrête je préfère ne pas perdre trop de sous" Je sors de la table et part en direction de ma couchette, je m'installe dans un coin attendant que tout le monde aille se coucher.

Je suis le croupier, de manière a ce qu'il ne me voit pas. Au moment propice je sors une de mes armes et lui colle sur la tempe. "Si tu fais un mauvais geste ou que tu crie je te fait sauter la cervelle!!"
Je lui donne un coup de crosse pour que celui-ci s'évanouisse. Puis le traine jusqu'à ma cabine sans que les personnes du train me voie.
Chuck surpris de me voir entrer avec ce corps "Qu'est-ce que tu as encore fait"
Lui expliquant la situation, qu'il s'agit d'un homme de Black, donc surement là pour nous. Je lui empreinte des paires de menottes au passage, pour à la fois lui immobiliser les bras et l'attacher à un lit puis le bâillonné avec une corde.

Une fois l'homme réveillé, je le questionne sur ce qu'il fait ici? pourquoi? qu'est devenu Black? si c'ets lui qui l'envoie?

L'homme ne comprend pas au début ... Puis quelques instants plus tard , il dit " c'est toi Erald ! Tu , tu ... Tu es vivant , quel miracle !! "

" On te croyait tous morts , apres ce que avait fait à Black , alors , comme on avait confiance en toi , on avait dissous notre bande , et on est tous partis chacun de notre côté ... Enfin , Black nous a rattrappé , et a fait la peau a la majorité d'entre nous ... Maintenant , je me suis reconverti ; je suis croupier ."

" Au dernière nouvelle Black a racheté une compagnie de transport de fond , dans le colorado , il devrait se trouvait à Denver . Sa a fait un scandale dans le journal , parce que il controle le monopole du marché de l'or , de la mine au lingot , et il fait des bénéfices monstrueux ! "

Ce discours te parait assez crédible .

" Moi , je veux plus en entendre parler , c'est du passé , surtout que s'il me trouve , je vais finir mangé par les coyotes ... Tu peux me détaché maintenant ? "

\HRP/ Je me rappel de lui, il était dans la bande que j'avais formé pour retourné Black?? \HRP/

"Et oui je suis vivant, on ne m'a pas comme ça moi!"

Si oui
Je le détache. "Je n'en ai pas fini avec Howard et que j'ai un vengeance à prendre! Il vas payer tout ce qu'il a pus faire subir aux autres!" Dis-je sur un ton décidé!

Si non.
Je me retourne vers Chuck "Qu'en pense-tu on le laisse partir? Ou non?"

oui , il faisait parti de cette bande , mais il ne veut plus entendre parler de Black ....

Le shériff regarde la scène , quand les deux ont finis de parler , il dit : " alors Black est dans le Colorado , on va lui tendre un piège , tant qu'il est encore là-bas .... Je pense qu'il vaut mieux détacher ton pote , laisse le partir , de toute évidence , il n'a rien de nuisible pour nous " .

Le reste de la nuit se passe sans encombre . Le lendemain matin , le shériff reunit l'equipe dans une suite et parle de la rencontre de la veille .Il évoque Black en disant

" On va aller dans le Colorado , c'est là que se trouve Black , et c'est là-bas qu'il mourra ! Sa fait qu'il ne nous reste plus que 4 jours de trains . Préparez le matos , et profitez de la prochaine escale pour vous acheté un déguisement . Sa serait trop bete de se faire repérer . "

Le shériff commence par lever son etoile , bien en evidence , et la rentre dans sa poche .

A l'escale pour le ravitaillement de charbon , le shériff achète des habits de trapeurs , avec le bonnet en castor et tout et tout . Il achete aussi des pieges a loup , et un baton de dynamite ...

Erald sort de sa cabine pour entrer dans celle de ses camarades.
"Nous savons ou se trouve Black, dans le Colorado" Dis-je a voix basse en fermant la porte.

"Chuck dit qu'il y en a pour 4 jours de train, mais il veut d'abord que l'on se déguise, la prochaine escale, pour ne pas se faire repérer." Erald leurs explique brièvement comme ils ont eu ces données.

"Nous allons bientôt nous arrêté, c'est le moment de faire des achats"

Erald descend directement à l'arrêt. Faisant un rapide tour dans la ville pour voir les différent magasin d'habillement celui-ci passe devant une boutique mexicain.
Il entre est demande au marchand des habits traditionnel, un pancho, le chapeau immense, ...
Un ami étant de cette origine il pense réussir à copier sa voix.
Erald ressort de la boutique habillé comme un vraie mexicain de l'époque. Puis remonte dans le train en direction de sa cabine!

Je sors, vais acheter une soutane noire et une bible.
Je change de magasin et vais acheter de l'eau de javel
[HRP]d'après wiki, l'eau de javel a été inventé au XVIII° siècle, donc c'est bon[/HRP]
ainsi qu'un autre détergent choisi spécifiquement (contenant des acides). (détergent acide+eau de javel=gaz toxique)
J'achète des bouteilles que je peux faire passer pour des bouteilles d'eau bénite mais qui fermer très très bien (qui ne laissent pas passer le gaz)

Avant de rentré dans le train, je met dans les bouteilles les 2 produits tout en retenant ma réspiration, et en bouchant très vite après avoir versé le deuxieme produit. Bien sur cette opération se faut à l'air libre loin des regards indiscrets.

Puis je rentre dans le train, heureux de mes armes biochimique!

Roland observe ses compagnons acheter tous un déguisement différent...

(Mais... sont-il bête... voir 4 mexicains ensemble, ou 4 trappeurs, Ok... Mais 1 prêtre, un trappeur et un mexico qui se balade ensemble sa a encore plus de chance d'attirer l'attention... Je ne comprends pas leur logique... Ils veulent se faire capturer pour entrer plus facilement chez Black? Ou alors ils sont tous simplement bêtes... Black ne me connait pas et je n'étais pas avec eux... je n'ai pas à me déguiser, enfin s'ils avaient opté pour le même déguisement j'aurais uniformisé mais là c'est inutile...)

Une fois que Doyll revient dans le wagon Roland lui fait part de ses doutes sur le fait d'avoir tous un déguisement différent...

[HRP]en effet yo, pas con
mais on peut pas se servir de ça si tu nous le dis pas en vrai =/ (m'en fout je reste en pretre, un pretre et 3 mexicanos ça peut aller, trop de bons souvenirs avec un pretre!![/HRP]

Yoann a écrit:

Une fois que Doyll revient dans le wagon Roland lui fait part de ses doutes sur le fait d'avoir tous un déguisement différent...

[HRP] Je te le dis J'avais pas envie de remarquer exactement la même chose alors j'ai abrégé mais j'avais bien marqué que je t'en parle ^^[HRP]